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« Les dernières années de l’Euro »

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« Les dernières années de l’Euro » Empty « Les dernières années de l’Euro »

Message par Robot U&P Lun 23 Aoû - 12:05


(Source : Mécanopolis)

Bruno Bandulet, adversaire de l’euro de la première heure, a mis en garde dès le début des années 1990, avec les professeurs Wilhelm Hankel, Wilhelm Nölling, Karl Albrecht Schachtschneider et Joachim Starbatty contre les effets dévastateurs d’une union monétaire européenne. Dans de nombreux articles et conférences et dans trois ouvrages, il s’est fait l’avocat du maintien du mark et s’est opposé au centralisme européen et à la folie de l’euro.

« Les dernières années de l’Euro » Euro

Maintenant que tout ce que l’on redoutait de pire est arrivé, cet excellent connaisseur de l’euro dresse un bilan, révèle les tenants et aboutissants et informe ses lecteurs sur les derniers développements du désastre de la monnaie unique.

Il explique comment fonctionne le système de l’euro, comment on crée de la monnaie à partir de rien, comment naît l’inflation et se déroulent les faillites bancaires et comment les taux de change s’établissent sur les marchés des devises.

Voici un extrait de son dernier ouvrage, « die letzten Jahre des Euro » (p. 11 sqq.) :

« On a des raisons d’être effrayé en voyant avec quelle absence de scrupules les politiques allemands ont négligé tous les arguments et mises en garde des économistes les plus renommés, avec quelle légèreté ils ont contourné la constitution allemande et trahi les promesses faites aux électeurs. L’éminent spécialiste en matière de finances Jim Rogers a déclaré : ‹Je suis stupéfait de voir que les Allemands ont abandonné leur idée d’une monnaie forte. Je ne l’aurais jamais cru.›

Cela dit, il ne faut pas considérer l’euro comme un phénomène isolé. Cela ressemble à des poupées russes : L’euro est au centre de l’UE telle qu’elle a été conçue à Maastricht et ce n’est que le résultat d’une idéologie globale : l’européanisme. Et comme l’euro et l’UE dépendent des conditions d’un système financier fondé sur des dettes sans couverture, la crise, née en 2008 aux Etats-Unis, devait finalement ébranler l’euro, cette monnaie artificielle. Ce sont les effets de la crise financière qui ont révélé les contradictions internes de l’union monétaire et provoqué l’effondrement de la Grèce.

Nous nous trouvons maintenant dans une situation absurde : C’est tout d’abord le surendettement des banques qui a déclenché la crise financière, puis les gouvernements se sont portés garants des banques et depuis 2010, les Etats encore solvables de l’UE, surtout l’Allemagne, se sont portés garants des gouvernements surendettés du Sud de l’Europe afin de ‹sauver l’euro›. On a réagi à l’échec de la monnaie centralisée par davantage de centralisme. Comme l’a écrit le banquier suisse Konrad Hummler, on maintient le système au moyen de garanties logiquement et économiquement tout à fait insoutenables, mais qui se soutiennent mutuellement. A l’aide de montants extrêmement élevés, on a créé une ‹garantie de ce qu’il est impossible de garantir› ».

Traduit par [url=http://www.mecanopolis.org/Bruno Bandulet, adversaire de l’euro de la première heure, a mis en garde dès le début des années 1990, avec les professeurs Wilhelm Hankel, Wilhelm Nölling, Karl Albrecht Schachtschneider et Joachim Starbatty contre les effets dévastateurs d’une union monétaire européenne. Dans de nombreux articles et conférences et dans trois ouvrages, il s’est fait l’avocat du maintien du mark et s’est opposé au centralisme européen et à la folie de l’euro. Maintenant que tout ce que l’on redoutait de pire est arrivé, cet excellent connaisseur de l’euro dresse un bilan, révèle les tenants et aboutissants et informe ses lecteurs sur les derniers développements du désastre de la monnaie unique. Il explique comment fonctionne le système de l’euro, comment on crée de la monnaie à partir de rien, comment naît l’inflation et se déroulent les faillites bancaires et comment les taux de change s’établissent sur les marchés des devises. Voici un extrait de son dernier ­ouvrage, «die letzten Jahre des Euro» (p. 11 sqq.): «On a des raisons d’être effrayé en voyant avec quelle absence de scrupules les politiques allemands ont négligé tous les arguments et mises en garde des économistes les plus renommés, avec quelle légèreté ils ont contourné la constitution allemande et trahi les promesses faites aux électeurs. L’éminent spécialiste en matière de finances Jim Rogers a déclaré: ‹Je suis stupéfait de voir que les Allemands ont abandonné leur idée d’une monnaie forte. Je ne l’aurais jamais cru.› Cela dit, il ne faut pas considérer l’euro comme un phénomène isolé. Cela ressemble à des poupées russes: L’euro est au centre de l’UE telle qu’elle a été conçue à Maastricht et ce n’est que le résultat d’une idéologie globale: l’européanisme. Et comme l’euro et l’UE dépendent des conditions d’un système financier fondé sur des dettes sans couverture, la crise, née en 2008 aux Etats-Unis, devait finalement ébranler l’euro, cette monnaie artificielle. Ce sont les effets de la crise financière qui ont révélé les contradictions internes de l’union monétaire et provoqué l’effondrement de la Grèce. Nous nous trouvons maintenant dans une situation absurde: C’est tout d’abord le surendettement des banques qui a déclenché la crise financière, puis les gouvernements se sont portés garants des banques et depuis 2010, les Etats encore solvables de l’UE, surtout l’Allemagne, se sont portés garants des gouvernements surendettés du Sud de l’Europe afin de ‹sauver l’euro›. On a réagi à l’échec de la monnaie centralisée par davantage de centralism]Horizons et Débats[/url]
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