Il y avait les espions soviétiques et la bombe atomique. Mais la guerre froide a aussi vu apparaître un drôle d’ennemi: les ovnis. Le Canada vient de rendre public tous les documents entourant cette psychose collective. Des curiosités que nous sommes allés consulter...
Au large de la Colombie-Britannique, un engin volant de forme circulaire se détache dans un ciel d’azur. Ses contours émettent une lueur diffuse, un peu comme si le bolide était ceinturé de lumières de Noël. Autour, rien. Pas même un nuage.
Cette description, Hugh Westheuser l’a entendue il y a presque 40 ans. Le 21 mai 1970, plus précisément. Âgé de 36 ans à l’époque, il était caporal de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), responsable du bureau de Prince-Rupert, pas très loin de la frontière avec l’Alaska. «Un homme un peu nerveux est entré dans mon bureau avec deux diapositives, raconte-t-il de sa maison de Kelowna, où il profite de sa retraite. Il avait pris les photos à bord du Queen of Prince Rupert, un traversier qui assurait la liaison entre l’île de Vancouver et le nord de la province. Sur le coup, il n’avait rien remarqué, rien entendu. Mais lorsqu’il a fait développer le film, il a aperçu cet engin volant.»
À l’époque, Hugh Westheuser prend la chose au sérieux. Ses ordres sont stricts. Tout signalement d’objet volant non identifié doit être rapporté au quartier général de la GRC, à Ottawa. La procédure à suivre ensuite est, elle aussi, parfaitement codifiée.
Une fois écartée la possibilité d’une menace pour la sécurité nationale (non, il ne s’agit pas d’un avion-espion soviétique), l’inspecteur R.E. Muir, responsable des enquêtes criminelles, transmet le rapport au Conseil national de recherches du Canada (CRNC). Plus spécifiquement à l’astronome Peter M. Millman, mandaté par le gouvernement pour examiner ce genre de signalements afin d’y trouver – qui sait? – des informations scientifiques inédites ou les indices d’une technologie avancée.
Dans ce cas-ci, Millman ne tarde pas à rendre son verdict. La photo avait certainement été prise derrière une fenêtre, peut-être sur l’une des promenades du navire. L’ovni ne peut être que la réflexion d’un luminaire qui se trouvait derrière le photographe au moment où il a appuyé sur le déclencheur.
Les étagères de Bibliothèque et archives Canada recèlent des milliers de ces rapports de signalements d’ovnis.
Source : Cyber Science
Au large de la Colombie-Britannique, un engin volant de forme circulaire se détache dans un ciel d’azur. Ses contours émettent une lueur diffuse, un peu comme si le bolide était ceinturé de lumières de Noël. Autour, rien. Pas même un nuage.
Cette description, Hugh Westheuser l’a entendue il y a presque 40 ans. Le 21 mai 1970, plus précisément. Âgé de 36 ans à l’époque, il était caporal de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), responsable du bureau de Prince-Rupert, pas très loin de la frontière avec l’Alaska. «Un homme un peu nerveux est entré dans mon bureau avec deux diapositives, raconte-t-il de sa maison de Kelowna, où il profite de sa retraite. Il avait pris les photos à bord du Queen of Prince Rupert, un traversier qui assurait la liaison entre l’île de Vancouver et le nord de la province. Sur le coup, il n’avait rien remarqué, rien entendu. Mais lorsqu’il a fait développer le film, il a aperçu cet engin volant.»
À l’époque, Hugh Westheuser prend la chose au sérieux. Ses ordres sont stricts. Tout signalement d’objet volant non identifié doit être rapporté au quartier général de la GRC, à Ottawa. La procédure à suivre ensuite est, elle aussi, parfaitement codifiée.
Une fois écartée la possibilité d’une menace pour la sécurité nationale (non, il ne s’agit pas d’un avion-espion soviétique), l’inspecteur R.E. Muir, responsable des enquêtes criminelles, transmet le rapport au Conseil national de recherches du Canada (CRNC). Plus spécifiquement à l’astronome Peter M. Millman, mandaté par le gouvernement pour examiner ce genre de signalements afin d’y trouver – qui sait? – des informations scientifiques inédites ou les indices d’une technologie avancée.
Dans ce cas-ci, Millman ne tarde pas à rendre son verdict. La photo avait certainement été prise derrière une fenêtre, peut-être sur l’une des promenades du navire. L’ovni ne peut être que la réflexion d’un luminaire qui se trouvait derrière le photographe au moment où il a appuyé sur le déclencheur.
Les étagères de Bibliothèque et archives Canada recèlent des milliers de ces rapports de signalements d’ovnis.
Source : Cyber Science
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