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La disparition des glaces

Passiflore
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La disparition des glaces Empty La disparition des glaces

Message par Passiflore Lun 16 Nov - 16:37

La disparition des glaces du Groenland s'accélère
La disparition progressive de la calotte glaciaire s'accélère au Groenland et contribue de plus en plus à l'élévation du niveau des mers, selon une nouvelle étude.
Ce rapport, qui recourt à des modélisations par ordinateur pour confirmer les observations de satellites, conclut que la diminution de l'inlandsis (calotte glaciaire) s'est accélérée pendant la période 2006-2008, pour représenter l'équivalent d'une hausse de 0,75 mm par an du niveau des mers du globe, contre 0,46 mm par an pour la période 2000-2008.
"La perte, en termes de masse, s'est accélérée", explique dans la dernière livraison de la revue Science, parue vendredi, Michiel van den Broeke, de l'université d'Utrecht aux Pays-Bas, qui a dirigé cette étude.
"Les années 2006-08, caractérisées par des étés chauds, ont connu une fonte impressionnante", dit-il à Reuters pour résumer le rapport, établi en collaboration avec des collègues américains, néerlandais et britanniques.
"Les causes sous-jacentes laissent penser que cette tendance devrait se poursuivre dans un proche avenir", estime de son côté Jonathan Bamber, de l'université de Bristol, qui a participé à la rédaction de l'étude.
Des modélisations par ordinateur viennent corroborer les données transmises par des satellites sur les pertes en glace, ce qui accroît la fiabilité de l'étude. Elles montrent que la diminution de la masse de glace est due tout autant à la fonte directe imputable à la hausse des températures qu'à la formation d'icebergs qui se détachent des glaciers.
"Cela nous aide à comprendre les processus à l'oeuvre au Groenland. Cela nous aidera en outre à prévoir ce qui va se passer", dit Michiel van den Broeke. Jusqu'à présent, les rôles respectifs des chutes de neige, de la formation d'icebergs et de la fonte des glaces étaient mal cernés.
DILATATION NATURELLE DE L'EAU
Si la totalité de la calotte glaciaire du Groenland fondait, le niveau des mers du globe monterait de sept mètres.
A l'autre extrémité du globe, le continent Antarctique, nettement plus froid, renferme plus de glace encore: si le pôle Sud "fondait" entièrement, le niveau des mers s'élèverait de 58 mètres, selon des estimations des Nations unies.
D'après l'étude réalisée au Groenland, le rythme de disparition de la glace a doublé récemment, mais cela est masqué par un accroissement des chutes de neige et par le regel d'une partie de l'eau de fonte avant qu'elle n'atteigne la mer.
Au total, le Groenland n'en a pas moins perdu 1.500 milliards de tonnes de glace de 2000 à 2008.
Cette perte est à répartir entre la formation d'icebergs qui se détachent de la calotte et dérivent en mer, et la fonte directe de glace. "La perte de masse aurait été le double" sans les effets compensateurs, explique Van den Broeke.
En 2007, le Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) estimait que le niveau des mers du globe risquait de s'élever de 18 à 59 cm d'ici 2100. La majeure partie de cette hausse serait due à la dilatation naturelle de l'eau dans des conditions plus chaudes, plutôt qu'à la fonte des glaces.
Au rythme actuel de disparition de ses glaciers, soit 0,75 mm par an, le Groenland pourrait compter à lui seul pour une hausse de 7,5 cm du niveau des mers de la planète dans les 100 ans à venir.
"Cela représente beaucoup plus, pour ce qui est de la contribution du Groenland, que d'après les évaluations passées", conclut Van den Broeke.
casseron
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Nombre de messages : 10115

La disparition des glaces Empty Re: La disparition des glaces

Message par casseron Lun 16 Nov - 16:53

C'est drôle....j'ai lu très récemment que la glace du Groenland fondait sur les côtes mais s'épaississait au centre !
Qui sont les menteurs ?
Anonymous
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La disparition des glaces Empty Re: La disparition des glaces

Message par Invité Lun 16 Nov - 17:34

La disparition des glaces 474305 Pour avoir la vérité cela risque d'être compliqué
Gaiya
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Nombre de messages : 1009

La disparition des glaces Empty Re: La disparition des glaces

Message par Gaiya Lun 16 Nov - 18:04

Comment ça serait possible que si les glaciers des côtes fondent ceux plus au centre s'épaissiraient? J'ai vu un reportage y'a pas longtemps sur la disparition des glaces au Groenland, et des scientifiques expliquaient que c'était dû au réchauffement climatique, et vu la vitesse à laquelle les glaciers fondent je suis certaine qu'il ne faudra pas attendre 100 ans pour voir les eaux montées de plus de cinq mètres, mais bien sur ils ne nous donnent pas toute leurs informations. Ils restent assez vagues et surtout ils ne sont pas tous d'accord sur les conséquences que cela va engendrer de même sur la période qu'ils nous restent avant de pouvoir se rendre compte des changements.
Schattenjäger
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La disparition des glaces Empty Re: La disparition des glaces

Message par Schattenjäger Lun 16 Nov - 18:05

Réchauffement ou refroidissement mondial : La glace disparaît-elle vraiment ?

La disparition des glaces Nature


(Source : WSWS - Traduction : Pétrus Lombard)

Le Président Obama vient de faire un appel grandiloquent aux Nations Unies en faveur de mesures mondiales visant à réduire considérablement ce qu’il appelait « la menace climatique, » l’euphémisme actuel pour ce qui est plus communément connu sous le nom de Global Warming, une théorie selon laquelle les émissions de CO2 des voitures, des usines à charbon et de toute autre source d’origine humaine, seraient la cause d’un tel réchauffement terrestre, que les calottes polaires fondent de manière irréversible et menacent d’inonder un quart ou plus de la surface des terres. Une seule chose coince dans le scénario dramatique de M. Obama : il est complètement bidon scientifiquement. Depuis 2007, les calottes polaires ont grossi, pas fondu, et la Terre se refroidit au lieu de se réchauffer.

Au cas où la trouille de crever d’une grippe charcutière inventée ne suffirait pas, les racontars dantesques des médias des trois coins du globe, comme BBC ou CNN, présentent la fonte des icebergs de façon suffisamment dramatique pour infliger des nuits d’insomnie. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, a même fait dernièrement un appel en se tenant debout sur la banquise arctique, affirmant que les émissions de CO2 provoquaient la fonte de « 100 milliards de tonnes » de glace polaire chaque année, de sorte que, dans 30 ans, l’Arctique pourrait être « ice-free » (sans glace). Une organisation, le WWF, affirme que la fonte glaciaire arctique est si rapide que, dans quatre-vingt ans, le niveau de la mer pourrait s’élever de 1,2 mètres, provoquant des « inondations qui affecteront un quart du monde. » He bien ! Ça fout les jetons. Goodbye Hambourg, New York, Amsterdam...

Le coup de pub de Ban Ki-moon a été habilement orchestré. Il n’a pas dit que son bateau n’a pu arriver qu’à 700 miles du Pôle Nord à cause de la glace. Ni qu’il a monté sa cascade en été, au moment où la glace arctique fond systématiquement avant de se reformer en début septembre.

La réalité concernant les glaces arctiques est très différente. Bien que quelque 10 millions de kilomètres carrés de banquise fondent chaque été, chaque septembre l’Arctique recommence à geler. La surface glaciaire est aujourd’hui supérieure de 500.000 km² à ce qu’elle était à la même époque l’an dernier, qui faisait elle-même 500.000 kilomètres carrés de plus qu’en septembre 2007, le point le plus bas enregistré récemment (voir la cryosphère d’aujourd’hui de l’Université de l’Illinois : arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/.

En avril prochain, après des mois d’obscurité, elle sera de retour sur 14 millions de kilomètres carrés ou sans doute plus. Comme le fait remarquer l’écrivain scientifique britannique Christopher Booker, « même si toute la banquise fondait, cela n’élèverait pas plus le niveau de la mer que la fonte d’un cube de glace dans un gin tonic ne dilate le volume du liquide dans le verre. »

Rayons de soleil provenant de concombres ?

La campagne actuelle d’hystérie du réchauffement mondial est menée à grand renfort de publicité par des politiciens et des intérêts particuliers, comme Goldman Sachs et d’autres compagnies financières de Wall Street, qui ne font que récolter les milliards de la négociation des nouveaux contrats à terme de l’instrument financier du crédit [d’émission] de carbone. Ils font un foin tout azimut pour effrayer le monde au sommet sur le réchauffement mondial de décembre à Copenhague, le successeur de l’accord de Kyoto sur la réduction des émissions de CO2. On a estimé que la facture du réchauffement mondial préconisée par Barack Obama et ses patrons de Wall Street, votée par la Chambre des représentants, mais pas par le Sénat plus prudent, coûterait au contribuable quelque mille milliards de dollars.

Au Royaume-Uni, où le Premier ministre britannique Gordon Brown anime la parade du réchauffement planétaire, la BBC et la Royal Society agitent des combines de « génie climatique » dingues, dont la mise en place de miroirs spatiaux pour dévier les rayons du Soleil, ou un revêtement routier avec des arbres artificiels pour aspirer le CO2 de l’air, le retirer et l’enterrer dans des trous. Ça pourrait peut-être fournir du travail aux quelques milliers de Britanniques mis au chômage par les ravages de la dernière débâcle financière, mais ça ne ferait rien d’autre que jeter l’argent du contribuable déjà soumis à rude épreuve par les renflouages bancaires. La farce entière a été comparée à la satire de Jonathan Swift, quand Gulliver rencontre un personnage fictif en train d’essayer d’extraire des rayons de soleil des concombres.

Une nouvelle étude importante, publiée dans le réputé Journal of Geophysical Research de l’American Geophysical Union, Influence de l’Oscillation Australe sur la Température de la Troposphère, des scientifiques JD McLean, C.R. de Freitas de l’École de Géographie, Géologie et Sciences Environnementales de l’Université d’Auckland en Nouvelle-Zélande et de R.M. Carter, confirme qu’au cours des cinquante dernières années, depuis 1950, 81% des changements climatiques tropicaux peuvent être pleinement imputés au phénomène météorologique du Pacifique connu sous le nom d’El Niño. Et les 19% restants sont liés à l’intensification du rayonnement solaire. Aucune émission d’origine humaine n’a joué de rôle. www.agu.org/pubs/crossref/2009/2008JD011637.shtml

Les climatologues et les astrophysiciens considèrent qu’El Niños, qu’ils appellent Oscillation Australe El Niño ou ENSO, est en relation avec les éruptions de l’activité solaire qui se produisent périodiquement.

Selon le Dr Theodor Landscheidt Schroeter, de l’Institut Canadien d’Étude des Cycles de l’Activité Solaire, ENSO est la « source la plus énergique de la variabilité naturelle du système climatique mondial. Pendant la grave manifestation d’ENSO de 1982/1983, quand la surface de la mer au large du Pérou s’est réchauffée de plus de 7°C, on a découvert qu’il existe des liens étroits avec les conditions météorologiques dans d’autres régions, comme les inondations en Californie et l’aggravation de la sécheresse en Afrique, par exemple. »

Landscheidt ajoute, « El Niño et La Niña sont si assujettis à des effets de forces externes provenant de l’activité variable du Soleil, que ça explique la quasi-totalité des irrégularités d’ENSO et rend possible la prévision à long terme, au-delà de la limite d’un an. Ce n’est pas une simple théorie. Mes prévisions sur les deux derniers épisodes d’El Niño se sont avérés justes et celles du dernier ont été faites plus de deux ans avant l’événement... »

(L’activité solaire Contrôle El Niño et La Niña : www.john-daly.com/sun-enso/sun-enso.htm)

Même James Hansen, l’un des protagonistes au franc-parler de l’idée du réchauffement mondial, admet : « Les forces animant le changement climatique de longue durée ne sont pas connues avec assez de précision pour définir les changements climatiques à venir... Les effets des forces naturelles dus à des modifications de l’irradiation solaire peuvent jouer un rôle plus important dans le changement climatique de longue durée que les effets déduits des seules comparaisons de modèles [climatiques] de la circulation générale. »

El Niños est lié à des inondations, sécheresses et autres perturbations climatiques, dans de nombreuses régions du globe. Dans l’océan Atlantique, les effets ont un retard de 12 à 18 mois sur ceux du Pacifique. Ils ont tendance à se produire tous les trois à huit ans. La Niña est associée aux phases de refroidissement des cycles de l’océan Pacifique.

Selon l’US National Oceans and Atmospheric Administration, en Amérique du Nord, El Niño produit des hivers plus chauds que la moyenne dans les États du Haut-Midwest et du Nord-Est. Au cours de la phase d’oscillation El Niño, la Californie et le sud-ouest des États-Unis deviennent nettement plus humides, tandis que le nord du Golfe du Mexique et les États mexicains du nord-est sont plus humides et plus froids que la moyenne. En Asie et dans certains endroits de l’Australie, El Niño crée des conditions plus sèches et augmente les feux de brousse.

Tout ça colle formidablement à ce que clame le chœur de l’hystérie du réchauffement mondial ou « changement climatique, » comme il le désigne à présent en catimini, que ce serait la conséquence des émissions anthropiques de CO2

Climat plus chaud il y a 1000 ans ?

En Suède, une nouvelle étude (publiée par Haakan Grudd du département de géographie physique et de géologie quaternaire de l’Université de Stockholm) confirme que l’Arctique d’aujourd’hui n’est pas plus chaud qu’il y a des siècles, lors de périodes historiques antérieures avant les centrales électriques au charbon ou les automobiles. L’étude de Grudd conclut que, « La fin du XXème siècle n’est pas exceptionnellement chaude dans les nouveaux relevés : Sur une durée de dix à cent ans, les périodes aux alentours de 750 après JC, 1000, 1400 et 1750, étaient tout aussi chaudes ou plus chaudes. La longue période chaude de 200 ans centrée sur l’an 1000, fut nettement plus chaude que la fin du XXème siècle et c’est confirmé par d’autres données paléoclimatiques locales et régionales.

(H. Grudd, Largeur et densité des cernes des arbres à Torneträsk entre 500 et 2004 avant JC : Un test de sensibilité climatique et une nouvelle reconstruction de 1500 ans des étés dans le nord de la Fenno-Scandinavie, Climate Dynamics, Volume 31, Numéros 7-8 / décembre 2008 : www.springerlink.com/content/8j71453650116753/ ?p=fcd6adbe04ff4cc29b7131b5184282eb&pi=0)

Dit simplement, il y a mille ans la Terre était plus chaude qu’aujourd’hui. Et, à l’époque, il n’y avait pas trace de quatre-quatre de loisir ni de centrales à charbon crachant du CO2 dans l’atmosphère.

Le seul hic avec les études scientifiques sérieuses, c’est que les grands médias les ignorent royalement, leur préférant des histoires hystériques de scénarios dramatiques, comme Barack Obama avec son discours à l’ONU ou Ban Ki-Moon avec son cinéma pathétique sur les glaces de l’Arctique.

À ma connaissance, assez bizarrement, aucun promoteur du réchauffement mondial ne tente de corréler l’activité d’ENSO aux changements de la température mondiale. Devrions-nous plutôt proposer d’interdire El Niños ou les éruptions solaires ? C’est aussi insensé sur le plan scientifique que d’interdire ou capter les émissions de CO2. La nouvelle religion du réchauffement climatique est une chose, mais il faut que nous sachions que les grands prêtres ont le même dieu argent que ceux qui nous ont apporté la religion du Pic Pétrolier il y a quelques années, et l’actuelle désintégration de billions de dollars dans la finance, connue sous le nom de titrisation des actifs. La réalité, c’est que le réchauffement climatique, comme le pic pétrolier et les autres délires, ne sont que des tentatives de puissants intérêts visant à convaincre le monde de se sacrifier afin qu’eux-mêmes puissent rester au contrôle des événements sur cette planète. C’est un essai à peine voilé de mésuser du climat pour plaider en faveur d’une réduction malthusienne du nouveau niveau de vie de la majorité mondiale, tout en augmentant le pouvoir de la minuscule « élite. »

par F. William Engdahl

Article original en anglais : Global Warming or Global Freezing : is the ice really melting ? , le 24 septembre 2009.// Traduction : Pétrus Lombard
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Message par Gaiya Lun 16 Nov - 18:21

J'étais plus pour l'idée du réchauffement climatique dû aux activités solaires, mais nous n'avons aucune preuve concrète, les soit disant experts se contredisent eux mêmes là aussi pour savoir vraiment ce qu'il se passe, c'est peine perdue, du moins pour l'instant. F.William Engdahi quand il dit à la fin, "tout en augmentant le pouvoir de la minuscule élite", vous pensez qu'il parlé de quoi exactement?
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Message par Macha Lun 16 Nov - 18:54

du moins pour l'instant. F.William Engdahi quand il dit à la fin, "tout en augmentant le pouvoir de la minuscule élite", vous pensez qu'il parlé de quoi exactement?

F. W. Engdahl parle certainement de ces puissantes familles qui détiennent à elles-seules les plus grosses fortunes mondiales, et ce depuis déjà plus de 350 ans. Familles qui ont fait fortune en établissant les banques centrales par exemple, mais aussi les riches familles d'industriels qui ont fait fortune à la fin du 19ème siècle avec l'industrialisation. En France par exemple, tu trouves les Rotchild (éh oui), les Lafarge, les Péchiney, etc, qui constituaient le grand "directoire" qui est devenu au cours du temps "le patronat", le MEDEF actuellement, qui même s'il regroupe en son sein toutes les entreprises, tout corps de métiers confondus, est néanmoins régi sous la pression des plus grands patrons connus. Tu retrouves également à la tête des plus grosses fortunes, hormi les nouveaux tel que Bill Gates, les plus grandes familles de noblesse, comme les Bourbons, les Hasbourg, etc...

En fait les grosses fortunes sont liées intimement à l'histoire, en retirant bien sûr, les réseaux "complotistes" qui ne font que colporter parfois des "rumeurs" quelque peu fantaisistes.

Donc en gros, ce sont les élites qui ont fait fortune à cette époque et qui ont joué de leur influence pour en garder le contrôle.

Pour les laboratoires pharmaceutiques et ses recherches, le problème est un tantinet différent, et est lié à un passé pas si loin, la seconde guerre mondiale, et les expériences menées dans les camps de concentration. Ce n'est pas le cas de toutes les laboratoires bien sûr. Mais si tu ajoutes, et c'est idem pour les autres fortunés, les mariages de "raison" "entre soi" pour éviter que la fortune se diffuse, tu as compris grosso modo le schéma ! Very Happy
Gaiya
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Message par Gaiya Lun 16 Nov - 19:28

C'était une question test. Je pense aussi que tout cela est bien lié et je pense que la pire des élites dont il faut se méfier sont les Illuminati.
Macha
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Message par Macha Lun 16 Nov - 19:37

Question test ? Very Happy
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