Ufologie & Paranormal

Bonjour,

Nous vous souhaitons un excellent surf sur les pages du forum. Le forum est en libre participation pour les non-inscrits. Une inscription donne néanmoins droit à nombreux avantages :

- Pas de pub
- Un pseudonyme réservé
- Un accès à l'ensemble des catégories
- La participation à la vie du forum
- Participation à nos concours
- Un outils précis pour organiser vos lectures, vos interventions.

Au plaisir de vous compter parmi nos prochains membres.

Le Staff.

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Ufologie & Paranormal

Bonjour,

Nous vous souhaitons un excellent surf sur les pages du forum. Le forum est en libre participation pour les non-inscrits. Une inscription donne néanmoins droit à nombreux avantages :

- Pas de pub
- Un pseudonyme réservé
- Un accès à l'ensemble des catégories
- La participation à la vie du forum
- Participation à nos concours
- Un outils précis pour organiser vos lectures, vos interventions.

Au plaisir de vous compter parmi nos prochains membres.

Le Staff.

Ufologie & Paranormal

Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
--- Le forum est en libre participation pour les non-inscrits ---

Derniers sujets

  • Poster un nouveau sujet
  • Répondre au sujet

Bernard Decré, l’homme qui poursuit l’épave de l’Oiseau Blanc à tire-d’aile

Macha
Macha
Administrateur
Administrateur


Nombre de messages : 7174

Bernard Decré, l’homme qui poursuit l’épave de l’Oiseau Blanc à tire-d’aile Empty Bernard Decré, l’homme qui poursuit l’épave de l’Oiseau Blanc à tire-d’aile

Message par Macha Jeu 13 Fév - 10:23

Bernard Decré, l’homme qui poursuit l’épave de l’Oiseau Blanc à tire-d’aile Article_000_Par7157612
Bernard Decré s'est mis en tête de retrouver l'épave de L'Oiseau Blanc, au large de Saint-Pierre-et-Miquelon. JEAN-CHRISTOPHE L'ESPAGNOL / AFP

PORTRAIT – A 74 ans, cet aviateur touche-à-tout s’est mis en tête de retrouver l’épave du biplan de Nungesser et Coli qui se serait crashé en mai 1927 au large de Saint-Pierre-et-Miquelon…

Comme si le temps lui était compté, Bernard Decré parle à toute vitesse et de tout. De Jean-Pierre Dick, du Concorde, du Bugaled Breizh, de la Coupe de l’America… Et bien sûr de l’Oiseau Blanc, trait d’union entre la mer et le ciel, ses deux passions.

A 74 ans, cet aviateur s’est mis en tête de retrouver l’épave du biplan des Français Charles Nungesser et François Coli qui se serait crashé le 9 mai 1927 au large de Saint-Pierre-et-Miquelon. Par la même occasion, il prouverait que les deux Français sont parvenus à traverser l’Atlantique en avion douze jours avant Charles Lindbergh pourtant considéré comme le pionnier du genre.

Il manque un «bout de carlingue ou un bloc moteur»

En fait, Bernard Decré se moque de cette compétition comme des premières piles de draps qu’il vendait dans les rayons du Bon marché étant jeune. C’est qu’il a déjà la réponse. Il «sait» que les Français se sont crashés au large de l’île Saint-Pierre. Livres de bord, témoignages, archives: il dispose d’une multitude d’indices.

>> Relire notre reportage de 2013 à Saint-Pierre

Il ne lui manque qu’une preuve. «Un bout de carlingue ou le bloc moteur», détaille-t-il tout en ajustant ses lunettes métalliques sur son nez. En attendant de repartir sur place, en mai, sonder les fonds marins, celui qui a créé le Tour de France à la voile publie son Enquête vérité (Editions Arthaud) de près de 250 pages, ce mercredi*. «On aurait pu attendre d’avoir la preuve ultime mais je me dit que ce livre pourra peut-être nous apporter de nouveaux témoignages et donc cette fameuse preuve.»

Il doit appeler sa femme tous les jours

Ironie de l’histoire, c’est aussi à cause d’un livre que Bernard Decré est «tombé» dans l’aventure de Nungesser et Coli. C’était à Noël 2006. «Ma fille m’avait offert le livre Chasseurs d’épaves de Charles Cussler», raconte-t-il. Comme un enfant lisant l’Ile au trésor, celui qui se définit comme un «mélange de Columbo et de Tintin» s’imagine déjà en train de partir à la recherche de l’Oiseau Blanc. D’autant que Cussler s’est trompé. «Il prétendait que les Français étaient tombés dans le Maine aux Etats-Unis. J’ai tout de suite vu que ce n’était pas possible.»

Une invitation à Saint-Pierre-et-Miquelon finit de le convaincre. Il revient en France, embauche des ingénieurs, affrète un navire et loue un sonar pour repartir. Non sans avoir convaincu le groupe Safran de financer l’opération. Et son épouse dans tout ça. «Elle m’a dit qu’elle trouvait ça passionnant. Mais quand je pars, je dois l’appeler tous les jours!»

«Je me laisse encore deux ans»

Car la campagne de 2009 n’a pas permis de retrouver l’épave. Ni celles de 2010, 2011, 2012 et 2013. Sur la carte, les zones maritimes hachurées qu’il a déjà fouillées s’étendent. Les indices s’amoncellent et la nasse se resserre. «Mais l’océan est immense. Je me laisse encore deux ans», lâche ce touche-à-tout. Avant de prendre enfin sa retraite?

«Quand on est passionné, on ne travaille pas vraiment, on s’amuse. D’ailleurs, je suis en train de créer une nouvelle société qui proposera aux Etats des hélicoptères en location afin de surveiller leurs côtes.» Après, il se verrait bien faire le tour du monde «seul» dans son petit avion et peindre les paysages à l’aquarelle. Il sait aussi que la relève est assurée pour retrouver l’Oiseau Blanc. «Emile, mon petit-fils de neuf ans m’a déjà dit qu’il poursuivrait les recherches quand je serais mort…»

*L'Oiseau Blanc, l'enquête vérité.
De Bernard Decré et Vincent Mongaillard. Aux éditions Arthaud.


http://www.20minutes.fr/societe/1295762-20140211-bernard-decre-lhomme-poursuit-lepave-loiseau-blanc-a-tire-daile
  • Poster un nouveau sujet
  • Répondre au sujet

La date/heure actuelle est Ven 17 Mai - 10:29