De mystérieuses sculptures intriguent les archéologues

De mystérieuses sculptures viennent d'être découvertes par une équipe d'archéologues israéliens, au cours d'une fouille entreprise dans la Cité de David.

Ces pièces ont été retrouvées dans un complexe de chambres taillées dans la roche, remontant à plusieurs milliers d'années, et dont le plancher porte trois signes, en forme de "V", que les archéologues peinent à décrypter.


Ces signes sont d'environ cinq centimètres de profondeur, et cinquante centimètres de long.

Eli Shukron, l'un des responsables des fouilles menées, à notamment déclaré : "Ces marques sont très étranges et intrigantes. Personnellement, je n'ai jamais rien vu de pareil".

D'autres membres de l'équipe d'archéologues impliqués dans cette découverte ont indiqué que les signes en question pourraient avoir servi à "une sorte de structure en bois, ayant eu une fonction rituelle ou profane".

Des marques similaires avaient déjà été mises à jour dans ce secteur, et retrouvées le long d'un "canal souterrain", lorsqu'entre 1909 et 1911, l'explorateur anglais Parker Montague, qui était à la recherche des fameux "trésors perdus du Temple hébreu de Jérusalem", avait travaillé dans cette zone de Jérusalem.

La récente découverte de ces "V", qui laisse les spécialistes perplexes, fait désormais l'objet d'une page Facebook, sur laquelle le public est invité à poster "réflexions et suggestions".
Certains utilisateurs ont d'ores et déjà proposé toutes sortes de théories, selon lesquelles ces marques renverraient par exemple à un mot en hébreu ou en égyptien anciens.

Les fouilles actuellement menées dans la Cité de David ont suscité diverses critiques émanant des milieux palestiniens, qui y voient une "tentative de renforcer la judaïsation de la ville sainte", accusation immédiatement rejetée par l'Autorité des Antiquités d'Israël, qui soutient et finance l'ensemble du projet depuis son commencement.

Lors d’une fouille près de Jérusalem d’étranges gravures ont été découverte dans le sol. Ces fouilles ont été réalisées dans les restes d’une ancienne cité.

Sur le sol on voit en effet une série de trois « V » qui semble avoir été gravé. Chacune de ces formes mesurent environ cinquante centimètres de long sur deux centimètres de profondeurs. Cette découverte c’est fait dans une série d’excavation sur un site qui était une ancienne zone politiquement sensible. Il semble que ces gravures furent faites proche d’anciennes fortifications.







D’après les archéologues qui ont fait cette découverte, ces marques sont très étranges et jusqu’à présent il semble qu’il n’y en ait pas eut de similaire. Ces vestiges ont été daté aux alentour de huit cent avant Jésus Christ.

Il semble toutefois qu’il pourrait s’agir des restes d’un lieu de sépulture, en effet une pierre gravée a été découverte et pourrait être un rocher destiné à certaine pratiques religieuses pour la mémoire des ancêtres. Dans ce cas il pourrait très bien s’agir des restes d’anciennes religions de type paganiste qui aurait subsisté à l’époque où les premiers Israéliens se seraient installés.

Pour le moment il n’y a que des hypothèses, aucun élément ne permet de savoir qui a graver ces symbole ni ce qu’ils représentent. Divers théories suggèrent d’ancien symbole Egyptien, ou bien Hébreux. Pour d’autre il pourrait s’agir de restent d’un mécanisme ou bien encore des symboles liés aux éléments. Pour le moment le mystère reste entier…

Des archéologues ont découvert de mystérieuses gravures dans la pierre sur un site de fouilles à Jérusalem. Ces signes, qui ont été gravés il y a des milliers d'années, ont dérouté les experts.

Les marques découvertes dans la cite dé David

Les archéologues israéliens fouillant dans la partie la plus ancienne de la ville ont découvert un complexe de pièces avec trois formes en «V» sculptés dans le sol.

Il n'y avait aucun indice permettant de comprendre leur objectif ni rien quant à l'identité des gens qui les ont faits.

Certains experts estiment que les marques remonte au moins à 2800 ans et peuvent avoir contribué à maintenir en place une sorte de structure en bois. D'autres disent qu'un ancien peuple aurait pu s'en servir pour des raisons rituelles.

Le but de ce complexe de pièces est un autre aspect du mystère. Il y a des lignes droites sur les murs et les planchers: ce que les archéologues considèrent comme une preuves d'ingénierie minutieuse.
Les signes ​​se retrouvent également près de la seule source d'eau naturelle de la ville, la source de Gihon, ce qui suggère qu'elles ont pu avoir un rôle important.

Eli Shukron, co-directeur du projet qui est à l'origine de la découverte des marques, a confirmé qu'elles étaient un "peu" mystérieuses. "C'est quelque chose qui est là sur le sol, dans une salle qui remontent à la période du Premier Temple et nous ne savons pas encore ce que cela signifie", at-il ajouté.
La période du Premier Temple se réfère à une période du début de l'ancienne ville, au 10ème siècle avant l'ère chrétienne.

Les experts étant incapables de proposer une théorie sur les marques, les archéologues ont posté une photo sur Facebook et ont demandé des suggestions. Diverses opinions ont été recueillies comme des "moules dans lesquels le métal en fusion aurait pu être versé" ou d' "anciens caractères hébreux ou égyptiens".

Ces fouilles archéologique dans la Cité de David résultent d'un projet politiquement sensible financé par le gouvernement israélien et les nationalistes juifs.
Les Palestiniens et quelques archéologues israéliens ont critiqué ces fouilles qui seraient une focalisation excessive sur les restes juifs. Les participants nient cette accusation.